Prečo je Kadhafi zlým vzorom |
Štvrtok, 14 Apríl 2011 05:20 | |||||
Dostal som mailom: Kto je nepriatelom Kaddafiho v Libyi...?!!!
zdravotní péče a část léků, školní vzdělávání.
Alkohol-nežádoucí, není.
Kadhafi, a socialist to be erased from the surface of the Earth (by Soros/Rotschild Gang & Tandem of American Enterprise Institute - Al Quaeda) I am indebted to Mr M. Kadhafi. Thanks to his generous sponsorship I participated in several interesting meetigs and conferences, including the one in Benghazi, Libya in 2000, and Vienna, Austria in 2002. For this last one I prepared a speech, which began my long-term friendship with my 'comrade-in-arms' Israel Adam Shamir (in attachment this memorable text prepared for the Vienna conference). On basis of these experiences I testify that all which Mohammad Kadhafi had written below is truth. Truth of course in its Aristotelian meaning of concordance of a description with the reality. dr Marek Głogoczowski
Kadhafi sans masque et sans censure Souvenirs de ma vie par le colonel Mu'ummar Kadhafi Titre du livre publié en anglais : «Recollections of My Life: Col. Mu’ummar Qaddafi, The Leader of the Revolution», le 8 avril 2011. Traduction vers l’anglais par Sam Hamod, Ph.D, et de l’anglais vers le français par NSC Le 9 avril 09, 2011 «Information Clearing House» Au nom d'Allah, le Bienfaisant, le Miséricordieux! Depuis 40 ans ou davantage, je ne m’en souviens pas, j'ai tout fait pour donner aux gens des maisons, des hôpitaux, des écoles, et, quand ils avaient faim, de la nourriture. J’ai même transformé Benghazi de désert en région de terres agricoles. J’ai résisté aux attaques du cow-boy Reagan, et il a tué ma fille, orpheline que j’avais adoptée : il essayait de me tuer, mais d’y arriver il a tué cette pauvre enfant innocente. J'ai aussi aidé mes frères et mes sœurs d'Afrique en donnant de l'argent à l'Union africaine. J’ai tout fait pour aider les gens à comprendre le concept de démocratie réelle, dans le cadre de laquelle des comités populaires dirigeaient notre pays. Mais ce n'était jamais assez, comme certains me l'ont dit. Même ceux qui avaient des maisons de 10 pièces, de nouveaux costumes et mobiliers n'étaient jamais satisfaits. Ils étaient tellement égoïstes qu'ils en voulaient toujours davantage et qu’ils disaient aux visiteurs des États-Unis et des autres pays qu’ils avaient besoin de ‘démocratie’ et de ‘liberté’, sans jamais se rendre compte que le système auquel ils aspiraient est celui de la loi du plus fort où les plus puissants tranchent la gorge des autres. Mais ces gens étaient obnubilés par ces mots ronflants et ne considéraient jamais le fait qu’aux États-Unis la santé, les hôpitaux, les médicaments, les logements, l'enseignement et la nourriture ne sont pas gratuits, sauf s’ils mendient ou se mettent dans de longues files pour avoir de la soupe. Peu importe tout ce que je faisais, certains disaient que ce n’était jamais assez, alors que d’autres savaient que j’étais le fils de Gamal Abel Nasser, seul véritable leader arabe et musulman que nous ayons eu après Salâh al-Dîn (‘Saladin’). Nasser a réclamé le canal de Suez pour son peuple, comme j'ai réclamé la Libye pour mon peuple, en essayant de suivre ses pas, pour libérer mon peuple de la domination coloniale, des bandits qui voulaient nous voler. Maintenant, je suis attaqué par la plus grande force militaire de l'histoire. Mon petit fils d'Afrique, Obama, veut me tuer, enlever la liberté de notre pays, nous enlever nos logements gratuits, notre médecine gratuite, notre éducation gratuite, notre nourriture gratuite et les remplacer par le banditisme à l'américaine que l’on nomme «capitalisme». Mais nous tous, à travers le tiers monde, savons ce que cela signifie. Cela signifie que les entreprises dirigent les pays et le monde et que les peuples souffrent. Alors je n’ai pas le choix. Je dois suivre ma voie, et, si Allah le veut, je mourrai en suivant sa voie, la voie qui a enrichi notre pays en lui donnant des terres agricoles, de la nourriture et des soins de santé, la voie qui nous a même permis d'aider nos frères africains et arabes à travailler ici avec nous, dans la Jamahiriya Jammohouriyah. Je ne veux pas mourir, mais s’il le faut pour sauver ce pays, mon peuple et tous les milliers de personnes qui sont tous mes enfants, qu'il en soit ainsi. Que le présent testament soit le témoignage au monde que j’ai combattu les attaques des croisés de l'OTAN, la cruauté, la trahison, l'Occident et ses ambitions colonialistes, que j’ai combattu avec mes frères africains, mes véritables frères arabes et musulmans. Comme un phare de lumière, alors que d'autres construisaient des châteaux, j’ai vécu dans une maison modeste et dans une tente. Je n'ai jamais oublié ma jeunesse à Syrte. Je n'ai pas dépensé bêtement notre trésor national, et comme Salâh al-Dîn, notre grand leader musulman, qui a sauvé Jérusalem pour l'Islam, j'ai gardé peu de choses pour moi-même. En Occident, certains m'ont traité de «fou», de «malade mental», mais ils connaissent la vérité et continuent de mentir. Ils savent que notre pays est indépendant et libre et n’est pas sous l'emprise coloniale, que ma vision, mon voie est et a été claire pour mon peuple que je me battrai jusqu'à mon dernier souffle pour nous maintenir libres. Qu’Allah Tout-Puissant nous aide à demeurer fidèles et libres. Col. Mu’ummar Qaddafi, 4.5.11
Copyright Col. Mu’ummar Qaddafi, professor Sam Hamod - Information Clearing House.
This is taken from Information Clearing House, at: http://www.informationclearinghouse.info/article27856.htm In the name of Allah, the beneficent, the merciful..
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Karol Ondrias ondrias.sk 110414
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